Intention 1 :
Limiter la probabilité :
- que l'eau ne s'écoule le long de la face de la maçonnerie
et ne pénètre derrière le solin principal; ou
- que la jonction ne puisse pas résister au mouvement
vertical différentiel des surfaces des cheminées et du toit, ce qui
pourrait faire en sorte que les solins ne subissent un déplacement
ou des dommages.
Limiter ainsi la probabilité :
- que les précipitations ou l'eau de fonte ne s'infiltrent;
ou
- que la performance thermique des composants conçus pour
opposer une résistance au transfert de chaleur ne soit compromise.
Limiter ainsi la probabilité :
- que l'humidité relative, les températures du milieu
intérieur ou l'accumulation d'eau ne puissent pas être contrôlées
efficacement;
- que des micro-organismes ou des matériaux instables
à l'état mouillé ne produisent des polluants; ou
- qu'une détérioration ne compromette l'intégrité des
toits ou des ensembles de construction protégés par les toits.
Limiter ainsi la probabilité :
- que la qualité de l'air du milieu intérieur ne soit
altérée;
- que le confort thermique des personnes ne soit insatisfaisant;
et
- que les personnes ne soient affectées par l'humidité.
Limiter ainsi la probabilité que cela ne nuise à la santé
des personnes.
Intention 2 :
Lorsque les contre-solins sont posés entre un toit
en bardeaux et une cheminée, limiter la probabilité que les précipitations
ou l'eau de fonte ne s'infiltrent, ce qui pourrait occasionner des
dommages aux boisseaux de cheminée sous l'effet des contraintes dues
au gel et au dégel, faire en sorte que des gaz de combustion ne s'infiltrent
dans les pièces habitées, puis altérer la qualité de l'air du milieu
intérieur [voir l'analyse pour le paragraphe 9.21.4.6. 1)].