Lorsque le toit en bardeaux présente une pente vers le haut par rapport à la maçonnerie d'une cheminée, limiter la probabilité que le prolongement vers le haut des solins ne soit insuffisant, ce qui pourrait favoriser l'infiltration des précipitations ou de l'eau de fonte, occasionner des dommages à la maçonnerie ou aux boisseaux de cheminée sous l'effet des contraintes dues au gel et au dégel, entraîner un échappement de chaleur ou de flammes, provoquer l'inflammation des composants combustibles du bâtiment, puis causer des dommages au bâtiment [voir l'analyse pour le paragraphe 9.21.4.6. 1)].